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LUCKY LUKE

490,00  (TTC)

  • Référence : LLBON
  • Fabricant : Fariboles
  • Sculpteur : Pascal Rodier
  • Tirage : 390 ex
  • Année d’édition : 2021
  • Hauteur : 24 cm
  • Auteur : Matthieu Bonhomme
  • Matière : Résine
  • Copyright : ©Dargaud2024

En stock

Description

Figurine dans un état comme neuf. 

Complète (boîte / certificat d’authenticité numéroté).

Photos contractuelles.

Fariboles : “Quand le talentueux Matthieu Bonhomme s’empare d’un des plus emblématiques héros de notre enfance, ça donne un splendide Lucky Luke, élégant, à l’allure athlétique, respectant le dress code posé par Morris, mais dans une gamme de couleurs plus nuancées…

Bref comment pouvais-je résister à l’envie de le transcrire en trois dimensions ?

Avec en prime le plaisir immense de faire avancer ce projet sous l’œil exigeant -et enthousiaste !- de l’auteur lui-même !”

Pièce d’occasion. 

Portrait de Morris :

Il imagine Lucky Luke en 1946 puis Rantanplan en 1987. Maurice de Bevere de son vrai nom, rencontre Peyo, Franquin et Paape à la suite de ses études.

En 1945, il est sollicité pour illustrer ‘Le Moustique‘ ; il réalisera pas moins de 250 couvertures de ce journal humoristique ! C’est à cette époque qu’il décide de choisir le pseudonyme de Morris pour scénariser et dessiner les premières aventures pleines d’humour de Lucky Luke. Celles-ci paraissent pour la première fois – sous le titre « Arizona 1880 » – dans l’‘Almanach Spirou 1947′.

Lucky Luke – cow-boy solitaire au grand coeur et justicier aussi imperturbable que sympathique – est accompagné de son inséparable monture, le sage Jolly Jumper, et du chien le plus stupide de l’Ouest, Rantanplan. Autour d’eux, Morris crée toute une série de personnages pittoresques auxquels il mêle des grandes figures de l’Ouest américain : les quatre Dalton, bêtes et méchants, Billy the Kid, le juge Roy Bean, Calamity Jane, ainsi que d’autres personnalités historiques, comme l’illustre actrice Sarah Bernhardt.

Entre 1948 et 1955, Morris sillonne les États-Unis avec ses amis Franquin et Jijé (Joseph Gillain). À New York, il rencontre René Goscinny qu’il s’adjoint comme scénariste à son retour en Europe. Ces deux monstres sacrés du neuvième art vont travailler ensemble avec passion jusqu’à la disparition de Goscinny, en 1977. Enfin, n’oublions pas que l’appellation « neuvième art » pour désigner la bande dessinée lui revient, comme l’expression « plus vite que son ombre », aujourd’hui passée dans le langage courant.

Informations complémentaires

Poids 1,995 kg